Après la déontologie, on parle à présent d’intégrité. Et pour cause, cette seconde notion est bien plus vaste que la première. Dans un cadre professionnel, l’intégrité recoupe également le comportement de la personne, i.e. son honnêteté, sa personnalité, son authenticité, sa réputation. On en est donc à l’étude de la personne dans un contexte professionnel et non plus à l’étude de son métier. Si l’on applique cela à la gestion, par exemple, l’intégrité d’un gérant va être mesurée à l’aune de son appropriation personnelle de ses objectifs de gestion. Le gérant doit donc se sentir impliqué personnellement dans ce qu’il fait. Pas si simple. Il faut alors faire la part entre l’intégrité et l’intrusion. Le gérant va contribuer à l’élaboration de la marque de sa société de gestion. Est-ce que cela se mesure ? Est-ce que cela vous rend plus performant ? Bonne réflexion…
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